es-tu l’arpenteur des dédales d’un songe ?
un tout ou passe une lourde stupeur
un tout dans des intervalles de bonheur minime
comment les nuits se soulèvent sous tes yeux ?
cependant le froid de tes rêves de doigts délurés
comme chavirer l’âme de tes écrits
combien de monstres marins faut-il avaler ?
tu connais machin chose sur l’amitié
tu connais machin chose sur l’amour, – très peu sur toi !
en sept mots: partout de la stupidité qui s’ignore !