es-tu l’arpenteur des dédales d’un songe ?
un tout où passe une lourde stupeur
un tout dans les intervalles d’un bonheur minime
comment les nuits se soulèvent sous tes yeux ?
le froid de tes rêves de doigts délurés
comme chavirer l’âme de tes écrits
combien de monstres marins te faut-il avaler ?
tu connais machin chose sur l’amitié
tu connais machin chose sur l’amour, – très peu sur toi !
en trois mots :
de la stupidité !