à Joël.
qu’il tend son soul les ailes déployés
ou qu’il revivifie sa verve
transposant son regard de prince
sur les choses animées
revues
debout
qu’il garde son cul au chaud
ou qu’il veille sur les statues de pierre
étouffant sous son duvet de plumes
le divin souffle de la nature
indifférente
hostile
un cygne blanc
un étang
ô cygne blanc !