les fenêtres sont grandes ouvertes, c’est l’été…
je porte une cape transparente et chiffonnée, mon bermuda est humide.
ma voisine cuit du riz dans la cuisine familiale
elle n’a plus le temps de me cultivée de ses soins affectés.
le vent fait gonflé sa djellaba à petits motifs amusants
comme un drapeau aux couleurs indéterminés.
je suis perdu dans l’âge des premiers émerveillements;
et si par malheur la chance me tourne le dos… !
l’une des raisons est que pour elle je me détraque le kaléidoscope.
un mal identifiable entre tout : nous allons plus revivre cette belle histoire d’amour.
mes anges de la prédication me susurrent des solutions prêtes à l’emploi entre les mains de la providence;
que je ne révélerais pour rien au monde ici.