No man’s land

je lis les exclus des bibliothèques, les conventionnels. une littérature ringarde et naïve par ses propositions. il m’est difficile en ce cas de croire à la gratuité.

dans ces livres estampillés que l’on peut reconnaître entre tous, l’auteur termine son récit avec un mot intelligent, contre tous les silences de l’éternité.

le livre est presque illicite dans certaines régions, peut-être même introuvable. ils diraient que c’est une perte de temps, absurde ou carrément une folie… etc.

êtes-vous personnellement atteint ?

c’est souvent les plus solides qui crient à la dinguerie

une distinction entre le bon grain et l’ivraie

soir de pleine lune

mes vêtements prennent l’air

de l’automne

j’ai remarqué une chose étrange, pour le moins suspect ! on ne tombe jamais sur de la poésie et les saintes écritures, je voudrais savoir pour qu’elle raison ?

je les affectionne tout particulièrement !

je rêve en parcourant mes livres, si tenté une fois encore que ces genres sont à l’intérieur et non pas dans l’objet ou dans l’ensemble d’une bibliothèque.

un bibliothécaire fait métier de sa passion.

je ne peux imaginer un monde sans les livres, mes périodes de lecture sont variables et sans l’issue des mots, l’étau me prend à la gorge et me serre, et me serre… !

allez-vous vomir ?

le piège referme sa propre clé

les mots purgent

sur la place de l’école

les chimères sonnent le nickel

d’une enfance

on a tant parlé de ces résidus de bonne conscience plus au moins neuf pour certains d’entre eux jamais ouvert, mais surtout transitoires ! ils nous exhortent.

les chiffres de l’édition sont en hausse !

on les retrouve généralement en libre-service dans les parcs publiques, les plages… etc. comme ils peuvent très bien finir dans une benne à ordure.

la lecture est une autre conception de la vie, meilleur à n’en pas douter. cette réalité est sans conteste qu’il devient inutile de formuler des évidences.

une promesse autre des courants habituels.

j’investis le champs commun

comme je regrette de les lire qu’une seule fois

au pré d’un Saul

une plume ocre entre les doigts

du poète

il n’y a rien de plus sensuel pour certaines femmes qu’un homme qui tient un livre !



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