à Narimane.
je vais conclure comme on s’engage dans un rire, ensuite me vient la question de l’amour. c’est comme fuir et inadéquatement, je pense à toi, ma relâche !
je pense à ton visage au ciel multiple qui glisse vers une aurore inconfortable,- comment puis-je rattraper ta course effrénée ? il n’y a que moi, moi qui tremble !
je fredonne ton nom à bout de souffle, une incantation qui traduit mes chagrins,- qu’elle nouvelle histoire s’offre devant nous… ,- qu’est-ce qu’on ne rend pas ?
un froid m’inonde et hante les mots
je presse mon cœur contre ton parfum
je me rends compte au fur et à mesure que les moments importants sont ceux passés avec mes amis, ils me racontaient les bonnes vieilles histoires.
je restais attentif aux anecdotes et mensonges qui pleuvaient par-ci par-là, et puis sans attendre, il me tombait dessus une confidence à couper le souffle.
je comprenais qu’un clic est plus conséquent qu’une page de tourner, oh…. vous m’avez fait ! qu’il est agréable de me souvenir parmi les récits où je revois presque tout.
qu’elles sont les expériences qu’on peut tirer d’un poète ?
j’absorbais les paroles oubliées
les moindres particularités m’étaient de l’or
je crois que l’on ne peut échapper à son destin qu’un certain temps et l’issue ne sera que plus fatale ! je crois que chaque main secourable mérite que l’on s’y attarde !
j’élabore un système nourrit d’une mythologie personnelle, une écriture qui brise le modeste seuil de ces lignes. la poésie est d’ici pour ne pas paraître comme tel.
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