fourmilière
ballets du bâton rompu
rire ou riz au lait
versés dans nos yeux ou sous nos pas
étouffés pêlemêles
tout Traviata
nos pas !
mémoire de l’exilé de bout en bout
relaissé par les odeurs et une béance
recherchant l’ouverture
diaphane d’esprit
épuisement d’un temps intercalé
où rien ne s’assemble et se dédouble
œufs brouillés de l’enfant
tout savant
baromètre des ombres
fine et finissons-en !
il n’y a rien pour toi ici
jeune apollon manqué
ailes et voiles de nos temples et carrefours
mansuétude
blanches fissures
éblouit
enchainé
malheurs sous l’abri
sous nos pas de tambour, en mur
seule la perte d’un petit bout de chocolat
je repêche ton regard à moitié endormi
puisqu’on aurait essayé
La chute est merveilleuse!
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