j’entrevoyais un peu de lumière entre les notes de Liszt qui me consolait, me console !
cela faisait remonter le souvenir de ma famille
de mes amis
et de la Parole
célébrés
j’allais vers quoi on ne pouvait lutter
sans souffrance aucune, un spleen
la raison de moi-même et de ma Ténèbre
rien que pour étancher ma soif de celle que j’aimais
sauvagement
j’ouvrais ta porte d’une seule étreinte
– celui qui aime aime en Dieu.
je chantais aussi nos clairs nuits
prélude d’un jour de septembre où nos mots en or s’étaient envolés