je ne l’espérais rien que pour moi-même, pour ma survie, ce prochain jour de septembre, comme la promesse d’une décennie de solitude, à écrire
dépression / courage / dépression
( courage à bras le corps ! )
puck : je travaillais pour être riche de ces nuages, – je fuyais le Soi, – je disais très peu ! j’étais sérieux avant toute chose à plein temps. j’en avais marre de tout, de notre séparation, de toi
comme à lui-même :
– tu t’appelles comment ?
– je ne suis personne.
– tu vas bien ?
– je crois, bien.
– je te souhaite un joyeux anniversaire.
– je te souhaite un joyeux anniversaire.
– je te souhaite une douce nuit.
– merci.
je me questionnais sur la parole consignée ou retranscrite, au souffle figé ou d’antique, plus encore dans la durée. lorsque j’en étais à les fantasmer et à les vivre