juin 2022

  • Tout code

    <?xml version= »1.0″ encoding= »iso-8959-1″?> <devices> <device> <identification> <model>d5303</model> <marketingname>xperia z5 compact</marketingname> <vendor>sony</vendor> <brand>xperia</brand> <typeid>pm-0740-bv</typeid> <class>phone/android</class> </identification> <storage> <type>card</type> </storage> <software> <semcboot> <productnumber>1270-3115</productnumber> <productrevision>s1_boot_msm8974_rhine1.3.1_la1.04_16</productrevision> </semcboot> <app> <productnumber>3675-94386</productnumber> <productrevision>14.6.a.1.236</productrevision> </app> <filesystem> <productnumber>global-lte</productnumber> <productrevision>14.6.A.1.296</productrevision> </filesystem> <productnumber>1379-1665</productnumber> <productrevision>r1d</productrevision> </cdd> </software> <systemserialnumbers> <imei>null</imei> <eimei>4gciefvwhmbrtogzt3arwg== </eimei> </systemserialnumbers> <securitystate>hwc_rhine_com_005</securitystate> </device> </devices tiré d’un ancien téléphone le 25/06/2017. Continue reading

  • Bruitages

    une femme de 70 ans est adressée aux urgences pour un syndrome confusionnel isolé, sans notion de chute ou de traumatisme crânien de ses antécédents, on retient : une hypertension artérielle traitée depuis 10 ans par amlodipine (amlor) (10 mg/j) et un syndrome dépressif traité par paroxétine (deroxat) (20 mg/j) les constantes sont les suivantes… Continue reading

  • Ticket de commande

    nom prénom : Ilan f 146 / vente à emporter 105 ( 50029 ) employer : thibault date transaction : 18/03/2018 numéro caisse : 14601. temps transaction : 22:20 qté désignation montant cb en prod 1 classic 2 p oriental ?? ; ?? 1 hd vanille caramel brownie ?? ; ?? 1 coca cola 1,5… Continue reading

  • Sur un ancien téléphone

    a : ah / a / à / alors / au / avec / aussi z : zone / za / zal / zèro / zoom / zen / zones / zoè e : euro / et / en / elle / est / est-ce / encore / enfin / ensuite r : recherche /… Continue reading

  • Colonne latérale d’un site de rencontre

    j’aime commenter partager rencontre à proximité dans le noir apparence lettres likes matches mes favoris mes visites télécharger le discours Continue reading

  • Se rabattre sur la ligne d’urgence

    il ne pleuvait plus sur mes blancs tombeaux les essuie-glaces étaient en stand bye par intermittence elle conduisait silencieuse et somnolente le jour aussi elle n’était qu’à moitié là un véhicule d’une trajectoire opposée parfois plein phare radiographiait l’habitacle poussiéreux sur une route ouverte, largement ouverte on n’évaluait plus les distances seul l’éloignement du point… Continue reading

  • Rendez-vous du soir

    n’étant pas moins qu’une fleur le rite et l’étoffe l’étincelle fleur sans nom fleur d’un autre nom l’asile d’un même mouvement qu’elle relie avec un sourire elle répond au nom de fleur qui s’élance lumineuse par ses greffes toujours se brisant sur un cœur qui trace et entrave Continue reading

  • De la journée

    je parle à une jeune fille qui joue au bandit et à la police sur une pelouse sillonnée, sillonnée… , préférés aux sirènes de pompiers je réouvre une fenêtre, – referme une fenêtre de la fenêtre un don des prémices je repose une assiette, – relave une assiette l’assiette est rangée dans le conduit des… Continue reading

  • Roulette

    il y a des poèmes qui me ressemblent que je sens que je ressens que je vois et tous ceux que j’écris cet objet tient du livre et du recueil se parcourt comme une fiction ! où chaque poème fait est un bâtonnet * toi que je devine tu me perçois peut-être en retour toi… Continue reading

  • Oud

    appelle de tes vœux l’orient sous les palmes conjure cornes et vents de tes doigts de sable la parole tiendra de la source parmi le gravat une roche au jour tu t’éveilles hâlé Continue reading

  • Un cœur aux repas

    tu es là où tu n’es pas tu es ma présence fragile et mon ailleurs je ne résolus pas tout j’ai vécu très tôt avec toi très vite ! très fort ! je marche cependant sur tes pas pour ne plus marcher Continue reading

  • Plus la bienvenue nulle part

    à Diana. un soir dans tes vieux jours lorsque tu seras assise auprès de ton radiateur repensant à tes jeunes et belles années tu te diras A. m’a célébré, pense-y bien ! comme l’avez fait avant toi Hélène De France le doux secret de cette maxime se cache dans ledit poème * éprouver de l’attirance pour… Continue reading

  • Bruissements

    s’infiltre par la serrure de la porte et des fenêtres l’aube aux clartés essentielles le chat ne joue jamais seul ses yeux étoilés bruissent par un saut tout s’invite à ma demeure  en cette heure de l’éveil l’attention portée à la circulation des oiseaux : l’astre, l’instinct du chien qui remue ! l’odeur de café… Continue reading

  • Sous les cotons

    à Hania. sous les cotons du temps tombent les rideaux métalliques les innocents flirts s’enrhument une cocotte en papier peint dans des amas d’agrumes ! – est-ce qu’elle m’aime dans ce tout de noir ? j’appelle au Sauveur des hommes ! c’était le crépuscule pour l’heure, j’arrose les arbres de mon urine est-ce que c’est… Continue reading

  • Scoubidou

    à Djawhar. comme le jour qui coule // comme la nuit qui fend je soufflais le chaud et le froid comme un courant d’air ! comme un courant stellaire ! la terre était le ciel // le ciel était de terre les points cardinaux étaient incommensurables le sang de ma poitrine nourrissait mille fleurs je n’avais rien… Continue reading

  • Tigzirt

    à Rabah. et à Omar. et à Hidouche. et à Omar. Le soir tombe sur le jardin. Les oiseaux se taisent. Le silence du soir est un objet perdu. Le silence du soir propre aux animaux, propre aux oiseaux, est un objet spontané, naturel, perdu. Sur le jadis. Pascal Quignard. au commencement il y avait… Continue reading

  • Qui s’infuse

    à Mokrani. tu envies l’impassibilité des pierres comme la musique de la main des vagues comme la douceur d’un galet sous le soleil la nature prodigue ses leçons de vie l’eau salée mouille tes lèvres tu envies l’impassibilité des pierres comme leur intranquillité * le marcheur solitaire du désert qui se détache à l’horizon qui… Continue reading

  • En homme

    je m’attends dans un avenir incertain je m’attends dans un endroit indéfini je m’attends moi-même je ne pars pas et ne reviens pas je ne m’endors pas et ne m’éveille pas je n’inspire pas et n’insuffle pas je me fais peur et ne crains rien je m’appelle et ne réponds de rien je mens et… Continue reading

  • Murs blancs

    il me parvient de la musique qui se noie dans les gosiers après tout on n’aimerait pas danser je joue avec les murs blancs et le cauchemar des morts et des vivants qui se versent comme un gouffre colportant un entre deux une allumette dans un tas de foin, sous peu le brasier je n’ai… Continue reading

  • Hagard

    le jour s’endort un peu moins dans la décrépitude j’apaise le flux du sang les rives où je me retrouve ne sont pas miennes comme ce jour-là : divin ! je ne l’ai pas observé dans mes souvenirs ne croyant plus à l’immuable ici-bas je regrette un ciel perdu qui bavait sous la pluie je… Continue reading

  • Une fleur de citronnier

    à Fanny. en dépit de ton silence qui m’écorche le sang l’odeur du jasmin qui me blesse blesse de mille morsures de serpents la lune est une amie le soleil est comme une fête le jour décline morose comme les mots que l’on ne peut rattraper sur mes pays et loin de toi je suis… Continue reading

  • L’homme derrière un rideau

    la nuit que tu entends à peine à peine… ! tu ne dois pas attrister ton cœur à tous les niveaux j’aime tizi-ouzou. Tizi-Ouiza ! elle a la douce voix du clapotis des eaux comme une perle la nuit que tu entends à peine elle t’attend Continue reading

  • Oh, la cigarette que l’on fume !

    une cigarette se consume entre mes doigts une cigarette se fume elle s’appelle Rym elle est longue et fine, rime souvent avec spleen comme les vieilles accros qui viennent des indes je m’en brûle une deuxième j’ai besoin de nicotine qui calme mes nerfs la braise rouge est une musique plus ancienne elle a son… Continue reading

  • Feuillet troué

    à Anne. et si de ce monde autocratique et obtus je répondais par un autre rêve je reste sans activité spécifique l’autarcie me fait bander longtemps et si j’éprouve le besoin de comprendre seul l’aride parmi toutes les vérités m’est nécessaire lorsqu’on est consacré à la vindicte sans secours rêve, rêve, rêve… aux lassitudes du… Continue reading

  • Bocage

    j’écrase l’herbe sur un paisible bocage pour bâtir un tipi sous la pénombre avec mon dos d’hérisson à trois pattes comme à présent prendre l’air est à exclure * dans La femme qui était un livre ¹ le poète ne te drague pas lorsqu’il est triste même si le poème t’envoute plus qu’à voir – une… Continue reading

  • Chaland

    au magic pub… 54, 56, 58 comme dans la nef d’une église gothique  une sombre niche au lait froid et de froment la rue se nomme maréchal joffre  vous y rencontrerez peut-être son apache   à qui manquent une hache et un divin sourire les habitués s’anesthésient jusqu’à la moelle, verdict : cette enclave est… Continue reading

  • Comme un au revoir, comme une ombre

    fini l’éternel de l’ombre obscure sais-tu d’orgueil que les astres sont sûrs ? la tristesse est immense et toi, tu es fini plus le désir de vivre d’après ta tête rabougrie comme un au revoir aux senteurs de vanille certains ébats du soir crochètent tes guenilles Continue reading

  • Caméléon

    dans l’espoir de trouver une super glue qui colle deux fois la même surface je regarde les pubs de patex parmi d’autres produits – oh que le monde semble plat dans un journal ! * l’un des haïkus de Jean-Baptiste Pélissier aurait pu se glisser là : je m’abstiens. cris de soif très haute la concave… Continue reading

  • Chaâbi qu’à toi

    à Mounia. un cœur qui bat pour toi et qui brûle respire une promesse d’éternité à présent, je me sens  : expiré. il ne reste presque rien de ton parfum d’entropie mon vide intérieur entame ton souvenir … après que celui-ci soit consommé pas de chute indéniablement il est constamment renouvelé dans son amour !… Continue reading

  • Semence

    à Ibtissem. c’est le loup qui surgit pour manger la fillette simplette avec des fossettes que je trouve superbe ibtissama c’est bien toi personnellement que je cherche, éperdument et tout simplement, depuis longtemps * les agréments secrets d’une vie incendiaire et ses dangers et ses tourments… le noir besoin d’un ventre monstre et humide tellement phallique… Continue reading

  • Je vois le ciel

    il me faut de la poésie pour entendre // il me faut de la poésie pour survivre je veux respirer pour vivre sans heurts je veux revivre mes mots qui font l’écriture je cherche ma quiétude dans les infinies miniatures   j’ai combattu toute volonté de puissance j’inspire à vivre de la poésie je suis l’éternel… Continue reading

  • Fragments

    Scène 1 DROLE DE DEAL… ! DROLE DE DEAL… ! DROLE DE DEAL… ! : tu sentais vraiment que cela ne servait à rien ? : vraiment. : tu jetais tout ? : il n’y avait meilleurs sortie à ces poésies.  : s’en était une ! : je ne voyais que justice, et renaissance. : tes mots, au feu… ! : tu y apportais ton eau, tes solutions,… Continue reading

  • Glu

    à Rafik. et à Lyes. et à Sofiane. C’est mon étoile Elle a la forme d’une main C’est ma main montée au ciel Durant toute la guerre je voyais Orion par un créneau Quand les Zeppelins venaient bombarder Paris ils venaient toujours d’Orion Aujourd’hui je l’ai au-dessus de ma tête Le grand mât perce la… Continue reading

  • Frise

    elle entrait dans le poème irradiait l’allée de ses chevilles ornées un matin d’un dimanche sous l’orage ( elle était jolie celle qui traversait crevant les yeux qui inondaient l’allée… ! ). elle coursait les brides de son poème les blancs rêves d’une mésange les trous dans un cœur comme une lune emplie d’un manque… Continue reading

  • Au matin, je rejoignais la veille

    ○ j’avais parfois des sueurs froides rien qu’à l’idée de passer à côté de mes textes, de ne pas les comprendre. par éclairs, il me venait un métadiscours, aussi léger que la main d’un peintre je déployais très peu de moyens, une économie de mots, avec la perspective de réaliser le maximum d’effets. le vers,… Continue reading

  • Une collusion

    une collusion l’endurer juste un après… sans bruit s’éclaircit ciel et doutes un temps trace / fouille le long trait qui dit : immédiateté. emporte oscillante vérité c’est toi. noir mat in-octroyé tu rendossais à Palerme ses ailes à son image vieille contagion, aucune rainure tel quel : elle elle ne pouvait te vivre. Continue reading

  • Poème passé

    par où je fraie un chemin ? peut-être par ici… ou là-bas entre les blancs ouatés après le point. plus près… sur le lit d’un poète qui veille nulle part… il me cherche : à la radio sur un parking baille louche hoquette alors, une murène ? Poème : Continue reading

  • Nœuds avant chaque poème, comme avant un orage

    j’aube à la nage dans les vents je crépuscule comme une course je soleil comme un jus de citron vert des plaines de mon enfance je nuage les moutons un jour d’une légère brise je rivière sous la tombe de Rivers j’étoile les poètes en filigrane de mes amis des montagnes je planète comme Holst… Continue reading

  • Second usage

    à Camille. en avant de la veilleuse un filtre en avant du filtre un cadre en avant du cadre un verre en avant du verre les deux croquis en avant des deux croquis un chevalet en avant du chevalet une scène en avant de la scène les deux modèles en avant des deux modèles un… Continue reading

  • Sclérose

    je t’aimais dès lors comme une nuée ardente après tout ce temps perdu je partais loin lancé par ton idéalisation entre tes garde-fous : rêvant. je te voulais avec violence d’un lien indéfectible ne sachant pas te voir autrement ! maux gorgé boiteux filament tels étaient les sublimations d’un poète interdit et ses renoncements !… Continue reading

  • Salut, c’était moi…

    elle enfilait un masque méconnaissable à la nuit tombée comme une ombre sur de hautes cloisons tout ce que nous partagions notre foi parce que différente comme une garde de tous il disait aux immensités bleues* : les femmes avaient des yeux perfides ! il disait à son cœur : les femmes avaient des visages… Continue reading

  • Raquette dans un sac de voyage

    la vie était comme on danse de nos libertés et à l’aveuglette ! le vide se faisait sentir je criais ! une femme jouait la nuit au solitaire sur son ordinateur, seule ! moi, je me touchais de cette extravagante solitude, même les lampadaires vibraient la vie était comme on cauchemarde de nos ailleurs bien… Continue reading

Bienvenue dans mon atelier !

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