dans l’espoir de trouver
une super glue
qui colle
deux fois
la même surface
je regarde les pubs
de patex
parmi d’autres produits
– oh que le monde semble plat
dans un journal !
l’un des haïkus de Jean-Baptiste Pélissier aurait pu se glisser là
: je m’abstiens.
cris de soif
très haute la concave de Jupiter
une conversation entre le gravé d’une paire de flûtes
ad vitam aeternam
j’enfilais ses douceurs pour le théâtre, après l’acte qui s’était joué à huis clos. elle remontait de l’histoire la poussière des cités, comme tout un réseau qui dégoulinait d’une tirade rouge
je sentais la fauche de ses petites ruelles fraiches, le tronc de ma peau était égrainé. j’extrayais une photo de l’album commun, c’était d’un vif regret que j’échouais…
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Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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