à Mounia.
un cœur qui bat pour toi
et qui brûle
respire
une promesse d’éternité
à présent, je me sens
: expiré.
il ne reste presque rien de ton parfum d’entropie
mon vide intérieur entame ton souvenir
… après que celui-ci soit consommé
pas de chute
indéniablement
il est constamment renouvelé dans son amour !
l’éducation d’une jeune fille pour les temps d’une belle femme
ton cœur prêté comme pour se découvrir à soi-même
la déchéance d’un jeune garçon pour les temps d’un vieille homme
mon cœur offert en perle d’émeraudes que personne n’emplit
les vents se brisaient sur la porte de mon cœur, au désert de mes routes… , ô mon esquive ! je vous accueillais, rien ne faisait obstacle au premier abord ! seuls me yeux qui vibraient et cristallins
lorsque j’allais une printanière après-midi convoitant des ouvertures, je souhaitais une fine pluie sur mes paupières à demi closes, comme pour faire mienne cette bourgeoise blessure
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Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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