Chaâbi qu’à toi

à Mounia.

un cœur qui bat pour toi

et qui brûle

respire

une promesse d’éternité

à présent, je me sens

 : expiré.

il ne reste presque rien de ton parfum d’entropie

mon vide intérieur entame ton souvenir

… après que celui-ci soit consommé

pas de chute

indéniablement

il est constamment renouvelé dans son amour !

l’éducation d’une jeune fille pour les temps d’une belle femme

ton cœur prêté comme pour se découvrir à soi-même

la déchéance d’un jeune garçon pour les temps d’un vieille homme

mon cœur offert en perle d’émeraudes que personne n’emplit

les vents se brisaient sur la porte de mon cœur, au désert de mes routes… , ô mon esquive ! je vous accueillais, rien ne faisait obstacle au premier abord ! seuls me yeux qui vibraient et cristallins

lorsque j’allais une printanière après-midi convoitant des ouvertures, je souhaitais une fine pluie sur mes paupières à demi closes, comme pour faire mienne cette bourgeoise blessure



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Vous avez la gentillesse de parcourir ces bribes de mots et de m’encourager. Je tiens avant tout à vous en remercier, merci chères lectrices, chers lecteurs.

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Tout signe refusant le savoir doit être marqué par les mots : Ô toi étoile lointaine… ,— Djaroua Allaoua Ouahbi.
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