à Diana.
un soir dans tes vieux jours
lorsque tu seras assise auprès de ton radiateur
repensant à tes jeunes et belles années
tu te diras A. m’a célébré, pense-y bien !
comme l’avez fait avant toi Hélène De France
le doux secret de cette maxime se cache dans ledit poème
*
éprouver de l’attirance pour une personne qui n’est pas réceptive
cela te noie dans l’informel, sans appuies
ni vérité
tu observes ton reflet dans le miroir
une trajectoire biaisée
très peu conçoivent le sens de jouer à deux
d’une valse
un nuage menaçant au-dessus du lit
fourmillement aux extrémités
*
j’entends du blues qui tombe étrange dans mes oreilles, les creuse toutes à toi suspendues. je n’omets de l’esprit du renard que sa queue ! c’est mièvre comme une praline ou une voix
une période à revoir, compliqué, rien ne va plus ! qu’importe où tu te situes, toi, la seule, une lie de ce qui ordonne et s’enfuie. un idiot se précipite là, perdu, évanescent, approximativement
la photo de toi que j’affiche sur mes écrans m’horrifie, une palourde qui me refuse sa perle de rêves. j’imagine tes bras autour d’un cou im-personnifié, comme rien d’aussi absurde et lointain
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