Scoubidou

à Djawhar.

comme le jour qui coule // comme la nuit qui fend

je soufflais le chaud et le froid

comme un courant d’air ! comme un courant stellaire !

la terre était le ciel // le ciel était de terre

les points cardinaux étaient incommensurables

le sang de ma poitrine nourrissait mille fleurs

je n’avais rien au-dessus de ma tête

l’homme cherche à se résoudre

il sonde son âme dans toutes les directions

depuis la nuit des temps

comme allonger sur la lune

tiède et au calme

il répond à des leurres

et souffre de la contrition et des hommes

je ne saurais jamais poétiser : je voyageais – je parlais – j’écrivais. ils disaient que j’étais maudit, qu’aux ténèbres était voué ma vie ! je croyais que chacun avait une chance, un faisceau de lumière

je renouvelais mes engagements envers la vie, il était pour moi vital de demeurer pour mes proches. je ne portais rien sur mon cœur, tout était vain et d’ailleurs. je rencontrais Dieu dans un pot de danette



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Tout signe refusant le savoir doit être marqué par les mots : Ô toi étoile lointaine… ,— Djaroua Allaoua Ouahbi.
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