voulez-vous que l’on parle de ma tête, de mes dents et de mes tripes ? je prenais acte de mon cerveau en voyant celle d’un mouton, je prenais de mes livres comme un calque
découpe éminente
découpe corps
vers creusé
oraison
sans rituel
beurre et poêle sur le feu
l’image
sans mots
le paysage s’endormait sous nos paupières – on s’endormait dans la voiture – j’aurais dû à chaque réveil l’embrasser… , – même alors à l’extérieur ? je ne vais qu’en me retournant
multiples voix
matière
tonalité
sacrificiel
lépreux
de la nuit et du jour
traditions
souvenirs qui démontent
enfance
cyclique
renouement
métaphore
strates
fiche
adresse
missives qu’à soi
trou
lectures
passerelle d’un vieux temps
Marseille
modernité
réalité
scission
évite
celui
qui
suscite
le regret
vers un entre deux
soi comme des parallèles
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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