une mésentente déjà si
jeune…
une mélodieuse s’en va
qui s’en va je ne sais où
avec ses opérettes si tragiques !
comment pourrai-je
oublier ?
rire et rire
avec toi frère, mon
frère-sourire
l’unique bien
qui me laisse comble
pour lequel je rends grâce à Dieu
est toi frère
frère-sourire
s’arrêter 3 min / 24 min
et se recueillir
et se vivre
lorsque tu es cerné d’impossibilités
avance le doigt, l’obscurité s’aplanira
ce que je dis a déjà été énoncé, par moi-même et les poètes à d’autres époques. comme à présent, ces signes-traîneaux qui se doublent ont déjà été déposés, sans préalable
c’est du peut-être à mon strabisme, – comment alors sortir du calque ? malgré tout, ce n’est pas avec ces brèves qu’il faudrait en parler, quoique cela n’a aucune importance
03/2011 – 09/2022