des mots que je formulais dans un rêve récurrent
grâce à la volonté de Dieu
sans doute au monde des rêves, par Son entremise
sans conteste !
me mouvant sur mon lit
comme presque rien ne mérite un Non
lorsqu’on aime aussi
avant que cela ne finisse en verlan !
*
un poème c’est l’appel d’un cœur
qui nous refuse rien
appelle – appelle – appelle
fou d’elle, de toi
fou de Lui
je me contrefiche de moi-même
je n’œuvre pas pour la culture
je ne construis rien
des notions plus qu’intégrées
*
j’avais quelque chose de la foudre qui calcine, un rescapé, tout en croyant aux ineffables vents, inconsciemment. je lisais sur mes jambes l’Ulysse d’un poète, un autre
je tentais bien un jour le chant de la pastèque, comme un goujat au bord. je m’allongeais sur une pelouse verte, un peu pale, sous l’ombre des arbres et l’envol des mouettes
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Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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