à Mourad.
la poésie
teintée du mal
la diffusion de la religion n’est pas en reste
sans quoi elles ne seraient pas visibles
hors moi, je dis pour qui !
combien même il concourt
pareil, d’où vient
le préjugé du poète infernal ?
un cran, symbiose
une part du paradis est en chacun
je combats des écailles
une dague à la main
sans mes jambes
sans mes mots
de belles écailles !
il y a certaines choses qui doivent être dites, elles viennent, repassent, me visitent. de corriger, je crois apporté mon expérience et du temps, si ce n’est s’embourber au seuil de la forêt
les blessures de mon cœur sont énormes et parfois, je change d’épaule. quoi ajouter d’autres, sinon ? j’irai par les chemins… , et de mon dos ! bientôt, l’aube et les corbeaux qui croassent