Je ne sais pas

rien ne me réjouit autant que de perdre des poèmes en route

impossible d’en retrouver une trace

moins de poids sur ma conscience, de travail à revoir

quoique les ayant déjà rédigés

j’en garde un vif souvenir

un manque béant

je tiens pourtant du fétichisme quelques résédas

si l’écrit, la poésie, étaient tout aussi transitoire et qu’il n’en demeurerait rien

combien même je m’y contenterai

puisque quelque chose a vu le jour, sera ou revient



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