la conception de son cœur-hiver est rude
sa joie me polarise
il ne m’appartient plus
il est célébré
ce couchant magnanime vous rassérène, – chut – chut…!
un froid désert
le cœur des vides
le cœur des pleins de bonheur
la conception de son cœur-hiver est rude
ses gouffres qui scintillent
oh, le feu de bengale !
oh, le feu follet !
ce couchant magnanime vous rassérène, – chut – chut…!
les belles tendresses dans l’âme
le cœur des adieux retroussés
écoutez vos poèmes !
nous tenons un ballet de nos ombres
pourront-ils un jour faillir ?