la conception de son cœur-hiver est rude
sa joie me polarise
il ne m’appartient plus
il est célébré
ce couchant magnanime vous rassérène, – chut – chut…!
un froid désert
le cœur des vides
le cœur des pleins de bonheur
la conception de son cœur-hiver est rude
ses gouffres qui scintillent
oh, le feu de bengale !
oh, le feu follet !
ce couchant magnanime vous rassérène, – chut – chut…!
la belle dans l’âme
le cœur des adieux retroussés
écoutez vos poèmes !
j’ouvre un ballet sous les ombres
pourraient-ils un jour faillir ?
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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