De soi

es-tu l’arpenteur des dédales d’un songe ?

un tout où passe une lourde stupeur

un tout dans les intervalles d’un bonheur minime

comment les nuits se soulèvent sous tes yeux ?

le froid de tes rêves de doigts délurés

comme chavirer l’âme de tes écrits

combien de monstres marins te faut-il avaler ?

tu connais machin chose sur l’amitié

tu connais machin chose sur l’amour, – très peu sur toi !

je me dégèle le cerveau

de la stupidité qui s’ignore



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Bienvenue dans mon atelier !

Vous avez la gentillesse de parcourir ces bribes de mots et de m’encourager. Je tiens avant tout à vous en remercier, merci chères lectrices, chers lecteurs.

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Tout signe refusant le savoir doit être marqué par les mots : Ô toi étoile lointaine… ,— Djaroua Allaoua Ouahbi.
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