es-tu l’arpenteur des dédales d’un songe ?
un tout où passe une lourde stupeur
un tout dans les intervalles d’un bonheur minime
comment les nuits se soulèvent sous tes yeux ?
le froid de tes rêves de doigts délurés
comme chavirer l’âme de tes écrits
combien de monstres marins te faut-il avaler ?
tu connais machin chose sur l’amitié
tu connais machin chose sur l’amour, – très peu sur toi !
je me dégèle le cerveau
de la stupidité qui s’ignore
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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