أتشابك عائدات الغناء الخاصة بي
مع التماثيل التالفة
تحت هذه السماء عديمة الرائحة
كل ذلك يهرب من باب الجسور الفخم
مثل ذلك الطائر الذي يطل على المدينة الشهيرة
! ويطاردني...
المدخل الذهبي
نوافير
سويا
الرغبة غير تام
تفقد الشمال
أسود النسل
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
Vous avez la gentillesse de parcourir ces bribes de mots et de m’encourager. Je tiens avant tout à vous en remercier, merci chères lectrices, chers lecteurs.
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