à la ville de Constantine.
du soleil à gogo se verse
entre les verres des cafés maures
il pleut…
sur le poste radiophonique
et les bouches hachées
des belles passantes et inconnues
il me revient
une aussi belle boursouflure
démarrer en quart
de toi
la carriole flotte
dans le contre espace de la rumeur
la reprise des rires francs et successives
un ras le bol des renoncements
comme ceux qui rétrogradent
la vie au point mort !
la halte prochaine est le cimetière
où reposent mes ancêtres
comme en apesanteur entre le ciel
et les pneumatiques
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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