à la ville de Constantine.
du soleil à gogo se verse
entre les verres des cafés maures
il pleut…
sur le poste radiophonique
et les bouches hachées
des belles passantes et inconnues
il me revient
une aussi belle boursouflure
démarrer en quart
de toi
la carriole flotte
dans le contre espace de la rumeur
la reprise des rires francs et successives
un ras le bol des renoncements
comme ceux qui rétrogradent
la vie au point mort !
la halte prochaine est le cimetière
où reposent mes ancêtres
comme en apesanteur entre le ciel
et les pneumatiques