le ciel est court
dormez les bonnes gens, la ville veille sur vous
une figure d’enfant déluré
comme un bleuté jusqu’aux narines de mouton
tu es définitivement parfaite et de perdue
te projeter, tu ne fais que ça !
la puissance renouvelée des absents
quel est ce refus de vivre ?
le poète a des représailles médiévales
et ne veut que finir la récréation chevaline
l’exaltation des peurs et des états souverains
… de l’oxygène dans de l’eau noire
le pli qui transcende les âmes
qui se consument comme l’orientation des blés
la clarté de la Ténèbre : une tourbe !
les semelles scotchées aux sept vents
le prix d’un rêve solitaire
les combles d’un cœur bateau en solitaire
une maison qui ronfle le silence des nuits
tu es l’enfant des arbres
chères lèvres fondues et désirés, je vous désir, etc.
le négatif d’une étoile qui brûle
tu es abattu à plate couture
tout te semble de noir halluciné
vous étouffez d’interminables cris
de vos innombrables vies !
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Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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