enfance
déchue
des
dents blanches
deux
nerfs
ton sourire sur le mien
un chat
les
jours passent
vient
l’été
tes
yeux et des ailes
or et aurore se couchent
( je pense à la sexualité d’un chat ! ).
un coup s’entend
un
autre coup de poudre
bouquet
de fleurs
boisson
une rose ou une violette
de
l’arbre monte
où aller ?
une
eau et du lait
panorama
les corps flottent inertes
l’herbe est un masque d’eau
ainsi commence et finie la lettre d’un Prophète
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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