à mes nièces Naelle et Shikha.
vous saurez être des femmes rayonnantes pour aimer.
Même toi, Nedjma, ma belle étoile !
Tu m’as laissé seul dans les déserts nocturnes
Avec le cœur qui frémissait de peur
Dans la cour du grand édifice
Embrasse-moi
C’est le souhait de la corde
Et moi mon étoile
Quand les souvenirs se dérobent à l’hiver. Djaroua Allaoua Ouahbi.
Traduit de l’arabe par Abdecelem Ikhlef.
enlevez vos chaussures
allongez vous
fermez vos yeux aux alentours
rentrez dans le noir du charbon
écoutez votre musique intérieure
respirez calmement et avec délectation
vous êtes sur une herbe artificielle qui pique
ne bougez surtout pas sous l’ombre du sycomore
comme un meuble caché aux regards distraits
un vieux tableau accroché au mur il y a longtemps
vous vous souvenez du bleu du ciel : l’épidémique !
élucidez le mystère de votre plus grande peur
restez au-delà de la fermeture du parc