à mes nièces Naelle et Shikha.
vous saurez être des femmes rayonnantes pour aimer.
Même toi, Nedjma, ma belle étoile !
Tu m’as laissé seul dans les déserts nocturnes
Avec le cœur qui frémissait de peur
Dans la cour du grand édifice
Embrasse-moi
C’est le souhait de la corde
Et moi mon étoile
Quand les souvenirs se dérobent à l’hiver. Djaroua Allaoua Ouahbi.
Traduit de l’arabe par Abdecelem Ikhlef.
enlevez vos chaussures
allongez vous
fermez vos yeux aux alentours
rentrez dans le noir du charbon
écoutez votre musique intérieure
respirez calmement et avec délectation
vous êtes sur une herbe artificielle qui pique
ne bougez surtout pas sous l’ombre du sycomore
comme un meuble caché aux regards distraits
un vieux tableau accroché au mur il y a longtemps
vous vous souvenez du bleu du ciel :
l’épidémique !
élucidez le mystère de votre plus grande peur
restez au-delà de la fermeture du parc
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Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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