à Véronique.
l’extase réinventée
le maudit
nuages
forme
yeux d’ivresses
acide
étrange
lenteur bleutée
carma
courbes
s’incline
arc fibrille
elle avait des boucles de cuivre
l’esprit des conteurs
les sons nocturnes
merveille
découvertes
au porte d’une ville
enfant = marron
noir papillon
nos héros immobiles
pieds de pierre
mystère
s’offre un
dissous
captive
mille baisers complices
vous ne regrettez jamais les fêtes
lorsque vous attendez le lever du soleil
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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