royaume du sud
écouter
radio
voix pétillantes
interférences chaudes
de la pise à boire
insoluble
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rareté
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cascades
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grève
gouffre fécondé
réceptacle
se ressemblent
flâner de l’ouïe
friandises
étude
boucles
le monde est féminin
accueillir
étrangers
passeport
noirs
désert
plusieurs sud
âmes en peine
immense silence
sable
gammes
danser avec les vents
les antennes sur du béton
tout comme
têtes enrubannées
fraîcheur
à l’affût
proches
le faire généralisé
la présentatrice est une fée
philosophie
banaliser
catalyseurs
le monde est tellement plus encore
je débarrasse la table
en observant une vieille psychologie du chameau
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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