à Véronique.
comme les ondes qui rongent son corps
le cœur serre son rêve des tropiques, hypothétiquement
les membres électriques !
les membres électriques !
les membres électriques !
( l’oraison des cosmiques ! ).
le sans douleur n’existe pas
il est de bleu le peignoir qui l’habille, effacé
la chemise éventrée !
la chemise éventrée !
la chemise éventrée !
( l’air des tropiques ! ).
il n’aime pas ses mains et désemparé
il est de bleu le peignoir qui l’habille, confidences :
elle prend les voiles que la circonstance exige
et ils nous disent de ce côté-ci qu’il y a de l’espérance !
il marche dans l’appartement lourd qui engendre un désordre
il déambule sur ses pieds nus dans le couloir baigné de lumière
les doigts ensanglantés !
les doigts ensanglantés !
les doigts ensanglantés !
( l’aria des démiurgiques ! ).
je médite la vie d’un homme en sursis
sur un canapé blanc
التسرب في المديتور
مثل الأمواج التي تأكل جسده بادو
يحكم القلب حلمه المولود في المناطق الاستوائية ، فرضيا
!أعضاء كهربائية
!أعضاء كهربائية
!أعضاء كهربائية
الغير مؤلم غير موجود
رداء الحمام الذي يلبسها أزرق وممحى
!القميص الممزق
!القميص الممزق
!القميص الممزق
(لا يحب يديه وهو مضطرب (همسة المناطق الاستوائية
:رداء الحمام الذي يلبسها أزرق، أسرار
!إنها ترفع الأشرعة التي تتطلبها الظروف وقد قيل لنا في هذا الجانب أن هناك أمل
يسير في الشقة الثقيلة مما يسبب الفوضى
يتبختر حافي القدمين في الردهة مغمورًا بالضوء
!أصابع دموية
!أصابع دموية
!أصابع دموية
تحت سيطرة مضيف المنزل على أريكة بيضاء
أتأمل في علم الكونيات لرجل في الوقت الضائع
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