grince
orgueil du cœur
blizzards
lumières d’une ville
feux
flamboyant
nuées d’une grange
sans ésotérisme
et joie
foule mausolée
tapi
rien que là
toit à mille lieux
à mille têtes
sereins rêves
flûte
soupirant
oies
promesse
peut-être une dernière
à lui
à l’écho de son parfum
coquelicots
bras rouges de froid
enlacement
grippe
arômes
homériques
berceau
ouvert à toi
aux messagères de la nuit
brouhaha
dingueries d’un ruminant
insistance
vaillance
assistance à la tonalité…
est parti
Charlie Parker
corbeau
détenue bravée
puits ou buis
lourdeurs
balancement
jours perchés
assaillant
sous une table
percé par les cristaux
je brûle de l’encens au plus sombre de la nuit
si souvent
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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