à Sophia.
complainte entendue
plantes brûlées et drôles de chapeaux
vaste fémur comme les jours abimés
où retombaient les générosités d’un adolescent
révolution des fleurs et des pierres
sensibilité d’une tête muette avec ses frères… , – pas bien pas bien !
quelques colombes effleuraient la fenêtre d’un paisible lointain
nous fallait-il faire face, à tout – à rien – à l’aurore alitée ?
comme un radeau vermoulu, etc.
traversant les longs soirs miraculeux, comme les phyllades !
il quittait le miel et les abeilles de son pays
pour la rive des estropiés
Splendide. J’aime beaucoup!
Une remarque: ne devrait-on pas lire « nous FAUT-il faire face, à tout à rien à l’aurore alitée ? » plutôt que «nous fait-il faire face, à tout à rien à l’aurore alitée ?»
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