complainte entendue
plantes brûlées et drôles de chapeaux
vaste fémur comme les jours abimés
grandes générosités dans la sensible tête d’un adolescent
révolution des fleurs et des pierres
chose muette avec ses frères… , pas bien pas bien !
colombes qui effleurent la fenêtre d’un paisible lointain
nous faut-il faire face, à tout à rien à l’aurore alitée ?
comme un radeau vermoulu, etc.
longs soirs et généreux, comme les phyllades
je quitte le miel et les abeilles de mon pays
pour la rive des estropiés
Splendide. J’aime beaucoup!
Une remarque: ne devrait-on pas lire « nous FAUT-il faire face, à tout à rien à l’aurore alitée ? » plutôt que «nous fait-il faire face, à tout à rien à l’aurore alitée ?»
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