Trois saisons

grippe

ou la fuite des vents

mue et morveux

douceâtre comme les peaux

boulevards bordelais qui transitent

quais embrumés

retardataire et à l’heure

humeur à la Gabin

Un singe en hiver

ainsi qu’un anniversaire de l’anneau

dessous les tambourineuses étoiles

le présage d’une noyade

parce qu’il y a un soleil

les lendemains d’une noce

extrapolations d’un intérêt sous les lampadaires

Richard sa majesté des affaiblis

s’assoir sur un fauteuil mirobolant

proverbe et flasques abattis

tapis recouvrant les sexes

les blancs

dogme du piéton

une histoire à la barre

plaide encore pour les étoiles

Aurore file la fin de l’été

je me pouille sur le chemin des poètes

comme j’en croise de si vrai



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Bienvenue dans mon atelier !

Vous avez la gentillesse de parcourir ces bribes de mots et de m’encourager. Je tiens avant tout à vous en remercier, merci chères lectrices, chers lecteurs.

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Tout signe refusant le savoir doit être marqué par les mots : Ô toi étoile lointaine… ,— Djaroua Allaoua Ouahbi.
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