à Alice.
au couvent une femme s’attarde dans un corridor ouvert aux débâcles, sonde son âme et noie ses yeux qui s’agrippent d’attente sur les feuilles d’arbres
( lorsque l’automne presse le pas ! ).
qui êtes-vous ?
que voulez-vous soustraire ?
solitaire qui observe l’irréparabilité
mal dépecé
acide
j’aspire à une eau qui s’en est allée, – qui donc crois-tu comprendre ? je la désir depuis ma vulnérabilité, me cache comme un tronc parmi les arbres, cadavre ambulant
( lorsque l’hiver englue nos pas ! ).
thème sur un ancien baiser : judas !
toc-toc, houst, l’indésirable !
transparente colère
fracas palpitants
flagada des pensées
je réitère mes adieux à la femme aux oiseaux
et pleure de joie la paix du soir
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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