c’était presque religieux ce moment du petit bout de chocolat plein de saletés que l’on mangeait, – puisqu’on aurait tout essayé, même la perte !
toute opaque, toute opaque, toute opaque,
toute opaque, etc.
du soir… , comme de la nuit
une transversale, géométrie de l’objet
que soufflent les vents !
que lave la pluie les souillures !
il y aura toujours la vérité à une vérité, l’orient à un orient, la loi à une loi, le vers à un vers, l’histoire à une histoire, etc. mes yeux se tournent vers l’ouest, pour la veillée du ramadan
tchat – tchat, tchat – tchat – tchat – tchat – tchat,
tchat, etc.
reconnaitre le poète qu’il fut
c’est comme avouer son ascendance
que soufflent les vents !
que lave la pluie les blessures !
je quitte mon rêve :
WordPress:
J’aime chargement…
Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
Votre commentaire