s’infiltre par la serrure de la porte et des fenêtres
l’aube aux clartés essentielles
le chat ne joue jamais seul
ses yeux étoilés bruissent par un saut
tout s’invite à ma demeure
en cette heure de l’éveil
l’attention portée à la circulation des oiseaux
: l’astre, l’instinct du chien qui remue !
l’odeur de café sur le feu mitonnant
les intimités d’un cœur étrange et drôle
l’appel du vendeur ambulant
du jour et de l’adresse
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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