je tiens au mot
: verve.
je me plains en mon cœur
aux trois horizons
insoupçonnés
dès lors
étonnant, il ne se passe presque rien. je continue de rincer la vaisselle, avec
cette eau que j’espère retrouver un jour
c’était un repas sans musique
de la fumée sans feu, – là, je salive
comme chercher le creux
sur une page
un Page
pareil, pas si longtemps
salir c’est évoluer avec
refusant de m’aventurer au centre, je me suis vue debout. sur une baie
derrière mon dos derrière mon dos… , un Coupépoème
effritement
où de la chaleur
condensée
inexorable
cendres
de gris
ciels
tropique
inféré
nous ne reverrons plus, mon tendre amour
plus jamais le jour plus jamais le jour
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Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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