à Rafik.
j’assemblais de mes doigts quelque part
comme tendre vers l’ensemble
l’ailleurs d’un commandement : vert.
mon cœur lasse m’accablait
je me recentrais
sous l’ombre d’un muret
soyons pour nous
soyons insaisissables comme les vents
comme les longs hurlements !
ne reconnaissant qu’une version de l’enfer sur terre
la peur de plaire
je connaissais de par le sang