tu invoques… ,
par ta présence, déjà senti
la caresse, – l’intuition d’un vent nouveau
tourbillons de particules
qui retombent !
hormis celle qui tombe, – celle qui te tâte ?
derrière la vitre
lorsque tu sombres
tes yeux, dernières douceurs
tu en oublies
hors ton frein, ton cloître
va, tes poignés
non sans odeur
… , va !
Répondre à Seuls dans l’univers, comme tant d’autres… Annuler la réponse.