une femme de 70 ans est adressée aux urgences pour un syndrome confusionnel isolé, sans notion de chute ou de traumatisme crânien
de ses antécédents, on retient : une hypertension artérielle traitée depuis 10 ans par amlodipine (amlor) (10 mg/j) et un syndrome dépressif traité par paroxétine (deroxat) (20 mg/j)
les constantes sont les suivantes : pa=145/75 mmhg, fc=90/min, fr=20/min, température=37,2°c
il n’y a pas de signe d’insuffisance cardiaque, d’œdème, de signe de localisation neurologique
les données biologiques sont : natrémie=120 mmol/l
kaliémie=4 mmol/l
protides=62 g/l
créatinine 102 mmol/l
hématocrite 45%, glycémie=7 mmol/l
calcémie=2,34 mmol/l
reprendre les fables
aller dans la bib’iothéque
relire les livres antérieurs
peut-être…
tiré de facebook le 21/06/2018.
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Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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