je me figure le style des barbus chirurgiens, en parallèle des barbus en basket nike ! ils pourraient s’appeler Hamid ou Stéphane, jamais ils n’auront une large sympathie
ceci est proscrit et cela est le salut !
personne ne sait d’où tu sors, mais d’où ?
j’ai l’impression que la misère de l’être fait des dégâts. mon cher ami me dit qu’il juge l’arbre à ses fruits. au-delà de tout discernement, je peux lui répondre dès à présent qu’ils sont pourries
ceci est proscrit et cela est le salut !
personne ne sait d’où tu sors, mais d’où ?
je devine les bouches, les teignes, surtout les piteux ! l’oiseau se souvient de ses après, son automne toujours s’impatiente de la feuille rouge
ceci est proscrit et cela est le salut !
personne ne sait d’où tu sors, mais d’où ?
c’est presque une caricature de moi-même
il me faut vous comprendre !
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Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
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