Comme un au revoir, comme une ombre

fini l’éternel

de l’ombre obscure

sais-tu d’orgueil

que les astres sont sûrs ?

la tristesse est immense

et toi, tu es fini

plus le désir de vivre

d’après ta tête rabougrie

comme un au revoir

aux senteurs de vanille

certains ébats du soir

crochètent tes guenilles



Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Bienvenue dans mon atelier !

Newsletter

Inscrivez-vous pour découvrir les derniers articles de blog et du contenu exclusif. Dans votre boîte de réception !

Adresse e-mail

%d blogueurs aiment cette page :