fini l’éternel
de l’ombre obscure
sais-tu d’orgueil
que les astres sont sûrs ?
la tristesse est immense
et toi, tu es fini
plus le désir de vivre
d’après ta tête rabougrie
comme un au revoir
aux senteurs de vanille
certains ébats du soir
crochètent tes guenilles