à la ville de Milla.
exclu, parce-que d’une condition pauvre, pour le bien et pour le pire, mais surtout dans le pire des mondes ! comme ma solitude que je mène contre vents et marées, n’est-elle pas jouissive !
un chœur dévale enchaîné à la galerie de cristal :
vie d’ascète
cristal
tout change autour
où je disparais
reflets de l’âme
lumière
exclu, parce-que d’un pays Kabyle, pour le bien et pour le pire, mais surtout dans le meilleur des mondes ! ma solitude est moribonde et qui cède, sans jamais fléchir !
un chœur dévale enchaîné à l’as de pique :
vie d’échanges
as de pique
rien ne reste ni ne perdure
où je me dispersais
que l’on nomme aussi psyché !
lumière
nous admettions plus les différents
par crainte de leur ascendance
WordPress:
J’aime chargement…
Posted by:
Aichaoui H. Arman H.
Je marche dans le bois… , un rituel sauvage, dessous les feux. De haut en bas traversé par les signes, ainsi est mon écriture, et moi… !
Je rends état de ma mythologie personnelle, de mon itinéraire, même si pour écrire des poésies je me prends pour Homère ! Même si je digère patraque les notes de mes strophes. Je ne sais qu’être là, être là, être là, etc. Une lecture de l’univers.
Je me repositionne dans le parler / dire : appuyant sur les bifurcations, fissures, etc. Je ne réponds qu’avec mon silence intérieur au dessein divin, ne tiens qu’à l’invraisemblance des mots, lointains, non-amicaux, à en devenir.
Je traduis moins par la sonorité que le sens, les plis de ma langue natale derja ou l’arabe, après une recherche du bouquet double. Cette alternative résulte de la sensibilité que j’ai du poème. Comme au surplus, ils surgissent en français.
En outre de mes propositions, rien n’a de faveur à l’instar de l’expérience poétique, diluer tout mon être dans le temps qui vient.
Votre commentaire