le mot khayel me fait penser à du lin blanc ondoyant au vent, alors que silhouette me fait penser à une allumette.
il se trouve des gens bien
qui descendent en ville jusqu’à la fin des temps
elle est une passante
elle est en robe de soirée
elle porte un secret
elle dégage une aura
elle a le pas aérien
elle lui sourit
( la douleur ne se pardonne pas, elle purifie ! ).
elle parle à son désir de feu comme un éclair
elle aime en éclair et ses yeux sont en feu
je rêve de mots que les dieux jalousent
il te suffit d’être un enfant qui formule des souhaits
il s’arrête de jouer
il descend de la scène
il est sur la piste enfumée
il rejoint l’anonyme
il la trouve moins belle
il le sait
( j’ai cru entendre le mot citoyen ! ).
les couloirs mènent vers les coulisses sous les néons bleus
sur le mur est accroché un tableau, un western
je me tiens debout sur un parking cimenté
je suis le parking démantelé
خيال المشهد
هناك أشخاص طيبين يهبطون إلى المدينة حتى الاخرة
هي من المارة
هي في فستان سهرة
انها تحمل سرا
إنها تزفر هالة
لديها خطوة الهواء
تبتسم له
(! الألم لا يغفر ، إنه يطهر)
تتحدث عن رغبتها في النار كالبرق
تحب في ومضة و عيون النار
أحلم بكلمات تحسدها الآلهة
يكفي أن تكون الطفل الذي يصوغ الرغبات
توقف عن اللعب
ينزل من المشهد
إنه على المسار الدخاني
ينضم إلى المجهول
يجدها أقل جمالا
وهو يعرف ذلك
(!ظننت أنني سمعت كلمة مواطن)
الممر الذي نسير فيه وراء الكواليس تحت أضواء النيون الزرقاء
على الحائط معلقة لوحة وستارن
أنا واقف على موقف محصن
أنا الموقف المفكك
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